Analyse fonctionnelle du stress au travail

Les 5 niveaux de gestion du stress au travail

Date de mise à jour : 19/08/2024

La gestion du stress au travail : comprendre d’où vient le stress ?

A l’heure ou la gestion de la santé au travail est omniprésente dans les préoccupations des organisations, de nombreuses études corrèlent la notion de santé au travail et de gestion du stress.

Il y a 50 ans, le mot « stress » commençait à peine à être connu. Maintenant, c’est une réalité assimilée par certains au monde actuel. Le stress est le lot quotidien de nombreuses personnes dans leur travail. Avec la crise du Covid, il a accéléré les prises de conscience et le stress atteint également les enfants, les adolescents et les personnes âgées. Il touche de plus en plus les métiers de la santé : médecins, infirmières, aides-soignants, aides à domicile etc…

En 2022, selon une enquête, le coût du stress serait plus élevé que jamais. Dans les organisations, il se traduit sous forme d’absentéisme, de perte de productivité, de turn over du personnel, d’accidents. D’année en année, la situation semble s’aggraver. De cette façon, personne ne peut plus ignorer le stress ou simplement le tolérer en attendant que la situation devienne moins « stressante ». Mais les pressions ne disparaîtront pas et font désormais partie de notre vie quotidienne « normale ».

Qu’est-ce que le stress au travail ?

D’après l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, le stress au travail « survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes qui lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face. Bien que le processus d’évaluation des contraintes et des ressources soit d’ordre psychologique. Ses effets ne sont pas uniquement de nature psychologiques. Le stress au travail affecte la santé physique, le bien-être et la productivité« .

Etymologiquement, le terme « stress » vient du latin « stringere » qui signifie « serrer ». Aujourd’hui, le « stress » fait plutôt référence au mot anglais « distress » c’est à dire à la « détresse ».

Voilà quelques définitions :

  1. un état de tension chronique (à la fois physique et psychique) qui découle d’une façon inadéquate de gérer la pression psychique pendant une période prolongée.
  2. une réaction particulière entre l’individu et l’environnement évalué comme menaçant et dépassant les possibilités d’adaptation.
  3. un sentiment d’obligation de répondre à des pressions internes ou extérieures.
  4. une incapacité de travail dans laquelle se trouve une personne face à une forte accumulation de tensions
  5. Le stress au travail est une réponse de l’organisme aux facteurs d’agressions psychologiques et psychologiques ainsi qu’aux émotions qui nécessitent une adaptation.

Quelle que soit l’approche, les définitions du stress font référence à 3 composantes :

  • des situations de travail contraignantes qui exposent la personne au stress
  • la personne qui réagit à ce qui lui pose problème avec son corps et/ou son psychisme
  • des effets observables sur le comportement d’une personne ou sur sa santé

Le stress au travail fait partie des risques psychosociaux au travail et est souvent lié au travail ou un manque de motivation.

Physiologie du stress

Le terme de stress est introduit au 20e siècle par un médecin autrichien Hans Selye qui formule que « le stress est une réponse de l’organisme face à une demande ».

Ainsi, toute situation stressante, qu’elle soit positive ou négative, entraîne une réaction physiologique. Lorsque la réaction est bien gérée, elle augmente les performances. Lorsque la réaction est mal gérée, elle nuit à notre corps et notre mental.

Toute menace, choc ou pression d’urgence entraîne immédiatement une réaction psycho-physiologique. Lorsque nous nous sentons dans une situation difficile ou menaçante, notre système « sympathique » s’active. Notre rythme cardiaque s’emballe, le tonus musculaire et le taux de sucre dans le sang s’effondrent. Notre organisme essaie de s’adapter et envoie un message à notre cerveau. L’hypophyse s’active à son tour. Nos glandes surrénales se mettent à secréter de l’adrénaline.

L’adrénaline libère instantanément de nouvelles ressources de notre organisme : mobilisation de nos sens, de nos perceptions, rapidité de nos réflexes et de la force dans nos muscles.

Nous sommes prêts pour deux options : la lutte ou la fuite.

Si notre réaction est positive et de lutte, nous éprouverons après une sensation de bien-être et de satisfaction. Le stress positif agit comme un starter de l’action.

Si notre réaction est négative et de fuite, nous allons aboutir à une inhibition de l’action.

Face à une situation stressante, notre organisme réagit en trois phases : alarme, résistance, épuisement.

Les symptômes du stress ?

Dans une situation de stress intense et prolongée apparaît différents symptômes : physiques, émotionnels, intellectuels, comportementaux.

Par rapport au stress, la parité existe. Il touche les deux sexes de manière identique. Les réactions au stress différent néanmoins. Les femmes réagissent en développant davantage de l’anxiété. Les hommes expriment plutôt de la colère et de l’agressivité.

Les stresseurs

Les stresseurs sont d’origine physique ou psychique, uniques ou multiples. Ils altèrent toujours le capital santé.

L’important n’est pas ce qui nous arrive mais la manière dont nous le ressentons.

Le stress trouve souvent sa source dans les changements rapides positifs ou négatifs que vit un individu ou un groupe d’individus. Les sources du stress proviennent dans ce que nous percevons comme des menaces ou dangers, objectivement fondés ou non et dans la nécessité d’avoir à réagir rapidement à la situation.

La notion du stress s’associe généralement à une trop forte pression. Le travail, l’obligation de prendre de nombreuses décisions sont des sources de stress fréquentes. Le manque d’activité peut être aussi une source de stress au travail.

Avec une pression trop forte, c’est à dire lorsque la pression dépasse notre seuil de tolérance, nous souffrons des effets négatifs du stress. Au cours de notre vie, nous traversons des périodes durant lesquelles la pression augmente, de nouvelles exigences s’imposent à nous et nous pouvons éprouver des difficultés à les satisfaire.

Avec une pression trop faible, les effets négatifs du stress au travail sont identiques avec des ressentis d’ennuis ou d’insécurité. Le travail routinier et répétitif entraîne une frustration et une anxiété considérables.

Lorsqu’il existe un équilibre entre la pression exercée sur nous et notre capacité à y faire face, nous sommes en mesure de gérer notre stress de façon positive.

Le seuil de résistance au stress varie d’un individu à l’autre, d’une période à l’autre de la vie, d’un moment de la journée à l’autre pour une même personne.

La gestion du stress consiste à utiliser le plus efficacement possible les pressions qui s’exercent sur nous.

 

Nous devons donc apprendre la gestion du stress au travail

Pour parvenir à une gestion du stress au travail, il faut comprendre d’où vient le stress ? Quels facteurs le provoquent ? Quels mécanismes l’engendrent ?

A partir du moment où nous le comprenons, il devient possible de savoir ce que nous pouvons faire pour empêcher les pressions qui provoquent pour chaque individu un stress chronique et le cortège physiques et psychiques qui en découlent.

Des médecins généralistes interviewés sur leur stress racontent des situations stressantes qu’ils vivent au quotidien.

  • agressivité d’un patient.
  • trop peu de temps à consacrer à un patient pour lui annoncer sa maladie ou lui expliquer un traitement médical « lourd ».
  • nombre élevé de consultations sur une journée, appels téléphoniques pendant les consultations.
  • surcharge de documents administratifs à faire, comptabilité à faire le soir ou le week-end etc..

La gestion du stress au travail : les règles pour faire baisser le stress au travail

  1. Détresse-toi, toi-même !

On voit souvent plus la paille qui est dans l’œil de son voisin !

Avant d’essayer de gérer le stress au travail des autres, mieux vaut s’attaquer au sien, connaître son propre mode de fonctionnement.

Repérer ses injonctions intérieures, telles que :

« il ne faut pas que je contrarie mon chef »,

« il faut que je me comporte comme cela », etc.… ».

Les diktats engendrent une attitude qui n’est pas forcément adaptée pour s’adresser à tel individu, et qui peuvent le stresser.

  1. Quoi stresse qui ?

 « On est souvent tant absorbé par son propre stress que l’on n’est plus attentif à celui des autres ».

Or, il faut tenter de repérer ce qui stresse, ce qui provoque des émotions chez l’autre, pour ne pas en rajouter.

Faire du cousu main en fonction des personnalités : « Les méthodes antistress s’adaptent au cas par cas ».

  1. Flairer le stress au travail

 D’habitude, il se tient droit comme un « I », mais là il est avachi…

Quant à lui, son côté speed vire à l’hystérie !

C’est en repérant les changements (préjudiciables) chez l’autre, les sorties du schéma habituel, que l’on détecte un stress.

Lorsqu’on a affaire à un groupe, des palpeurs peuvent révéler une pression collective :

  • l’augmentation de l’absentéisme,
  • des vols de matériels,
  • des remontées alarmantes de la médecine du travail,
  • une baisse de la qualité, etc.
  1. Epidémie

Le stress au travail est contagieux.

Le devoir du manager, est de cacher son propre stress au travail, pour qu’il ne retombe pas en cascade !

Eviter de raconter ses angoisses, sa vie, ses déceptions aux collaborateurs.

Il est très important que l’entreprise déstresse ses managers, leur donne les moyens de ne pas être toujours sous pression, sans quoi ils ne pourront gérer le stress des autres.

  1. Organisation antistress

Vous adorez cuisiner. Mais imaginez que pour garder un œil sur vos enfants, vous installiez vos fourneaux dans leurs chambres où ils s’agitent comme des diables !

Les facteurs environnementaux peuvent créer du stress.

Beaucoup d’entreprises, par exemple, reviennent sur le concept d’open space, qui ne permet plus de bénéficier d’un espace à soi.

C’est aussi organiser, gérer, voire réglementer : l’usage pour un rien du téléphone portable, les invasions d’e-mails, etc.

  1. Contrôler les méthodes antistress…

Manager, c’est également contrôler. Et entre autres vérifier que les bonnes méthodes antistress sont utilisées.

« On peut très bien conseiller à quelqu’un, que l’on sent stressé, de reprendre son sport favori abandonné depuis six mois. Ou orienter vers différents méthodes qui peuvent faire du bien ».

Exemples : deux équipes dans l’entreprise, obligées de travailler ensemble, se tirent inlassablement dans les pattes. Un manager peut alors demander à chacune de formuler ce qui ne va pas. Et, cela fait, réclamer des idées de solutions pour régler l’affaire. « on dégage les tension, puis on reconstruit ».

  1. Vous n’êtes pas thérapeute !

La frontière est ténue entre la vie professionnelle et privée.

Or, le stress au travail procède toujours plus ou moins de la conjugaison de l’une et de l’autre.

« Il faut se limiter à la sphère du travail pour apporter de l’aide, ne pas se prendre pour un thérapeute ».

Attention : Les dérapages peuvent être dangereux et culpabilisants pour ceux qui s’y risquent. Mieux vaut se limiter à des questions neutres, telles que :

    • « Pourquoi prenez-vous cela comme ça ? »,
    • « Pourquoi tu t’en fais pour ce problème ? ».
    • « Ton comportement a changé, as-tu besoin d’aide ? ».

Si la personne, stressée d’une façon qui crève les yeux, refuse un soutien, il faut redoubler d’attention.

Par exemple, essayer de passer par le réseau des collaborateurs, afin qu’elle en dise un peu plus. Le tout étant quel que soit le profil de l’individu, de tendre des perches pour qu’il prenne de la distance, pour qu’il observe ses soucis sous un autre angle.

  1. Ne pas laisser isolé

 Il est au coin, seul, sous stress.

Le contrepoison peut consister à offrir de la reconnaissance, à faire parler, à renforcer la cohésion d’équipe.

« L’individualisme est une tendance sociologique forte. Or, l’homme est un être sociable ! Et les échanges en profondeur manquent. Il faut tenter de créer des relations durables. Par un mode de relation moins direct et rapide, plus courtois, favorisant le respect entre tous ».

  1. Rien ne sert de courir…

 « Pourquoi, et comment, nous allons faire cela… »

Souvent les managers n’ont pas le temps de l’expliquer. Du coup, les options de directions deviennent floues. Un manque de sens qui peut devenir inquiétant, stressant… »il faut communiquer moins rapidement ! ».

  1. L’art des pincettes

« Avant de dire quelque chose de désagréable, il faut faire cinq caresses !.

La période actuelle est anxiogène.

Ce n’est pas de la manipulation, mais de la prévention pour éviter les explosions.

Une remarque, sans prendre de gants, à une assistante parce qu’elle a laissé des fautes d’orthographe dans une lettre, et il y a risque de déflagration. Car nous vivons une période globale de pression.

Limiter le stress des autres, c’est aussi s’entraîner à passer des champs de bosses !

 

Une grille pour travailler sur la gestion du stress au travail :

vous êtes stressés au quotidien dans votre travail, voilà 5 étapes pour s’auto-évaluer :

1er niveau de gestion du stress au travail, c’est d’abord comprendre votre stress

  • identifier les situations stressantes au travail
  • comprendre les composantes de la spirale du stress

La gestion du stress au travail et identifier vos situations stressantes

Stress le plus important
Stress intermédiaire
Stress le moins important

La gestion du stress au travail et repérer les différents types de stress

Domaines sources de stress au travail Evènements Évaluation
1 = Gérable 2 = Problématique 3 = Déstabilisant
Relationnel Relation avec sa hiérarchie
Tâches Informatique
Manque de temps
Surcharge
Perspective Peur de perdre son emploi
Conditions de vie Nuisances sonores

La gestion du stress au travail et analyser les ruminations

Rumination centrée sur le problème
Rumination centrée sur moi sur ma valeur, mes compétences
Rumination centrée sur le futur
Rumination centrée sur le passé

La gestion du stress au travail et comprendre vos sentiments et attitudes

Les sentiments ressentis sont ancrés :

  • injustice
  • solitude
  • inefficacité
  • absence de reconnaissance
  • absence de soutien
  • résignation
  • pessimisme
  • tristesse

Vous avez le sentiment :

d'être débordé, inefficacité, manque de contrôle
conflits (rôle, valeurs....)
insatisfaction, perte d'intérêt, démotivation
déception, injustice, rejet, discrimination
frustration, déception impuissance/résignation
inquiétude, découragement, perte de confiance
responsabilité, isolement, solitude
manque de reconnaissance et de soutien

Les attitudes négatives

  • plainte
  • agressivité
  • indifférence
  • non coopération
  • passivité
  • désespoir

La gestion du stress au travail et évaluer ses réactions

Des signes en lien avec le travail ruminations incessantes au sujet du travail
fatigue et une lassitude
blocages anxieux pour aller ou reprendre le travail
sentiments de solitude, de perte d'intérêt et de plaisir, de résignation, d'injustice
des comportement d'hostilité et d’agressivité envers soi-même et les autres

L’anxiété au travail

  • sentiment d’appréhension, de doute, de peur avec ce qui touche le travail
  • évitement du travail pour mettre à distance l’émotion
  • Panique, anxiété, paroxysme émotionnel lors de la confrontation ou l’évocation
  • Comportement défensif obsessionnel pour tenter de maîtriser

HAD

L’échelle HAD est un instrument qui permet de dépister les troubles anxieux. Elle comporte 7 items qui se rapportent à l'anxiété cotés de 0 à 3. (note maximale = 21). Si score supérieur à 10 : probabilité élevée d'une anxiété marquée.
items cotation de 0 à 3
Je me sens tendu ou énervé
J'ai une sensation de peur comme si quelque chose d'horrible aller m'arriver
Je me fais du souci
Je peux rester tranquillement assis à ne rien faire et me sentir décontracté
J'éprouve des sensations de peur et j'ai l'estomac noué
J'ai la bougeotte et n'arrive pas à tenir en place
J'éprouve des sensations soudaines de panique
TOTAL

Ressources

  • personnes (collègues, hiérarchie, RH, médecin du travail, entourage etc…)
  • accès au soin spécialisé (interne ou externe, consultation, écoute, déontologie)
  • programmes et formation gestion du stress
  • programme de prévention et d’information (internet, centres…)

Interactions négatives

  • hyperactivité improductive
  • plainte
  • agressivité
  • indifférence
  • difficultés relationnelles
  • non coopération
  • passivité

 

2ème niveau de gestion du stress au travail : entraîner son mental pour moins ruminer

comprendre ses processus mentaux en jeu face à un stress vécu dans l’entreprise (émotions, pensées….)

Identifier les pensées stressantes

Apprendre à raisonner autrement

Entraîner le mental avec :

  • de la respiration (observation, contrôle respiratoire, pratique attentionnelle)
  • de la relaxation corporelle (relâchement, suggestion, activation, attention)
  • de la conscience du moment présent
  • du lâcher prise
  • de la visualisation mentale

La gestion du stress au travail pour s’approprier quelques exercices de contrôle respiratoire et relaxation musculaire.

Chacun d’entre nous peuvent tester ces exercices de gestion du stress au travail. Essayez, vous ne pourrez plus vous en passer !

Les actions concrètes :

  • évacuer les pensées anxieuses
  • mise à distance des ruminations : ce sont des pensées et non le reflet de la réalité
  • acceptation
  • meilleure connaissance de soi et de ses réactions
  • relaxation

 

3ème niveau de gestion du stress au travail : méditer pour ne plus stresser

Découvrir la pleine conscience

Etre attentif au moment présent

Prendre du recul avec ses pensées stressantes

4ème niveau de gestion du stress au travail : adopter des attitudes et des comportements positifs

la résolution de problème pour surmonter une situation difficile

s’exposer au stress pour le dépasser

agir par soi-même et élaborer son propre programme individuel

 

5ème niveau de gestion du stress au travail : s’exposer et s’engager dans l’action

Générer des émotions positives pour soi et les autres

Cultiver la confiance en soi

faire de la visualisation mentale pour se ressourcer en toutes circonstances

agir par soi-même et élaborer son propre programme individuel

Fixer les objectifs de votre programme individuel de gestion du stress au travail

  • contrôler des signes physiques du stress
  • mieux dominer les émotions
  • moins ruminer et changer ses modes de pensée
  • être plus efficace, plus performant
  • développer des sentiments positifs (auto efficacité, estime de soi) et apprendre à dire non
  • s’organiser, mieux gérer son temps, résoudre des problèmes
  • mieux communiquer, s’affirmer avec les autres, gérer les conflits
  • accepter ce qui arrive pour réussir à passer à autre chose

 

pour toute question et contact, direction@winch.expert ou Catherine TALLET, psychologue du travail et prévention des risques psychosociaux catherinetallet@free.fr

 

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